Carnets
C’est une rue en pente. Elle descend vers l’avenue qui serpente depuis l’ancien bourg d’Escoublac jusqu’au pont de chemin de fer, construit
La Chapelle Notre-Dame-de-la-Côte accueillait à nouveau des touristes de passage, des curieux qui s’y rendent tantôt à pied, tantôt à vélo.
J’avais finalement décidé de publier, à la hâte, une partie des chroniques écrites entre mars 2020 et janvier 2022, choisissant
Le brouillard matinal enveloppait les hauteurs de Port en Bessin où s’étend le golf d’Omaha Beach. Les parcours à peine dévoilés, verts
Quelques notes éparses noircissent les feuilles du cahier que j’ai emporté avec moi. C’est rassurant d’écrire, de transposer entre les
Le vent du nord s’était réveillé. Ultime nuit sur l’Ile Cannelle. La veille au soir le Portugal nous avait accueillis du côté de Castro
L’homme derrière les mots
Jean-François Messian
Si on me presse de donner une seule raison pour avoir attendu aussi longtemps pour écrire, la seule réponse qui me vient est que je n’étais pas prêt.
À des études de lettres vers lesquelles j’était naturellement disposée, j’ai préféré les Sciences fort de la conviction que je deviendrai architecte navale. Il aura fallu la crise covid et le temps infini dont nous disposions pour que je me frotte enfin à ce besoin qui couvait depuis longtemps, abandonné au profit d’une carrière professionnelle, dans la communication d’abord, puis le commerce ensuite.
Je n’avais aucune idée du chemin dans lequel je m’engageai en commençant à noircir les pages du blog que j’avais laissé en jachère depuis plusieurs années. Les confinements et les réseaux sociaux me permettaient d’être lu.
J’ai saisi depuis qu’il n’y a pas d’écrivain sans lecteur, ce site est pour eux.
